Dernière mise à jour le : 26/05/2025
La Semaine pour la qualité de vie au travail 2020 (du 15 au 19 juin) est entièrement remaniée pour débattre des enseignements - transitoires ou durables - de la crise actuelle. Face à l'épidémie de Coronavirus et en période de reprise de l'activité, le réseau Anact-Aract réoriente sa programmation autour des « 1ères leçons d'une crise ».
Qu'est-ce qui permet à certaines entreprises d'ajuster leur mode de production en période de crise tout en préservant la santé de leurs salariés ? Quel rôle pour le management et le dialogue social dans la période actuelle ? De quelles façons relancer la dynamique sociale interne de l'entreprise pour favoriser une reprise d'activité de qualité ? Comment améliorer le travail demain ?
Une programmation 100% digitale :
La Semaine proposera des webconférences, podcasts et des récits pour partager :
• des expériences d'entreprises ;
• les résultats des questionnaires et appels à témoignage du réseau Anact-Aract ;
• des recommandations pour accompagner la phase de reprise d'activité post-confinement.
Des écarts importants subsistent entre hommes et femmes en matière de rémunération et de perspectives de carrière, de conditions de travail, d’équilibre entre la vie professionnelle et personnelle, etc. La réduction de ces écarts est un enjeu – encore insuffisamment pris en compte – pour la santé au travail et la cohésion sociale des entreprises. Lorsque les inégalités entre les femmes et les hommes persistent au sein d'une organisation, le sentiment d'injustice affecte en effet la qualité de vie et des conditions de travail. À l’inverse, la mobilisation contre les discriminations permet d’instaurer un climat professionnel égalitaire et propice à une bonne qualité de vie au travail. Par ailleurs, l’analyse des causes des inégalités permet de questionner l’organisation et les conditions de travail, et ainsi d’identifier et de mettre en œuvre des améliorations.
AGIR Magazine
n°118