Dernière mise à jour le : 15/04/2025
La santé au travail est désormais considérée comme condition de performance des entreprises, 7 axes prioritaires d'actions ont été définis dans ce cadre.
Prévenir le risque routier : une priorité pour le secteur des métiers de la propreté
Le risque routier professionnel est la deuxième cause d’accidents mortels pour les métiers de la propreté. Il constitue donc un enjeu majeur de sécurité routière par le nombre de personnes décédées et d’arrêts de travail enregistrés. C’est pourquoi les signataires de la charte souhaitent donner une forte impulsion à la prévention du risque routier professionnel en incitant les entreprises de propreté à intégrer ce risque dans l’organisation du travail.
Une charte qui accompagne les entreprises de propreté dans leur démarche de prévention
La FEP a développé pour ses adhérents un guide pratique comprenant des tableaux de bord sur le suivi des accidents routiers qui permettent d’élaborer un diagnostic de l’accidentalité routière touchant chaque entreprise. Ce guide présente aussi des fiches sur les actions de prévention qui peuvent être mises en place pour réduire cette accidentalité notamment dans le domaine de la formation et de la sensibilisation, de l’organisation des déplacements, de la maîtrise des communications et de la gestion d’un parc véhicule.
La FEP s’engage aussi à promouvoir les possibilités d’apprentissage anticipé de la conduite dans le cadre professionnel. L’État et la CNAMTS, de leur côté, assurent une aide méthodologique à la mise en œuvre de cette charte à travers différents outils (données statistiques, études, informations via des campagnes de communication, site Internet, etc.)
Une charte qui répond à une des préoccupations majeures de l’État en matière de sécurité routière
Le Comité interministériel à la Sécurité routière du 18 février 2010, a décidé de renforcer la protection des salariés exposés au risque routier dans le cadre de leur activité professionnelle. L’expérience positive des chartes, telle que celle signée aujourd’hui, a conduit le CISR à inviter les entreprises de plus de 500 salariés à mettre en oeuvre un plan de prévention du risque routier.
Source : Sécurité Routière
En 2024, un quart de la population française était âgé de plus de soixante ans. D’ici 2030, ce sera près d’un tiers ! L’ensemble de la société doit s’adapter à cette évolution démographique, et aux effets sociaux, économiques et culturels du vieillissement de la population. C’est également un défi majeur pour le marché du travail, qui nécessite une action concertée des entreprises, des travailleurs et des pouvoirs publics. Les entreprises ont un rôle décisif à jouer dans cette révolution de la longévité, mais elles doivent pour cela repenser la place des travailleurs « seniors » dans le monde du travail. Il n’existe pas de définition légale du terme « senior » mais celui-ci est souvent utilisé pour désigner les salariés de plus de 55 ans… L’allongement des carrières va obliger les entreprises à adapter davantage les conditions de travail de leurs salariés plus âgés, pour assurer leur santé, leur bien-être et leur maintien en emploi. Cela nécessite d’agir à plusieurs niveaux : formation, prévention, qualité de vie et des conditions de travail, lutte contre les préjugés ...